Agrile du frêne: il faut garder espoir

Si l’agrile du frêne est un tsunami qui ne laissera vraisemblablement vivants que 10% des 50 000 frênes de rue montréalais (la ville ne se prononce pas pour ceux des parcs), les chercheurs n’ont pas complètement baissé les bras pour autant. Ils utilisent Montréal comme terrain d’expérimentation pour tenter de limiter l’épidémie et trouver des outils qui aideront les villes québécoises qui ne sont pas encore touchées.

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Photo: Journal Métro

http://journalmetro.com/actualites/montreal/520056/la-recherche-contre-lagrile-du-frene-avance/